Mon reve d'aujourd'hui.

J'avais fuit de la fusée mais finalement une pierre m'a tué. J'étais tombée par terre, evanoue, morte. J'ai tout vu, alors je demande à ma mère, qui est en train de ranger mes vêtements: "maman, vite, dis-moi si je suis morte!" Elle, nerveuse, s'approche à le corps qui est sur le sol, le corps d'une jeune fille qui a encore les cheveux longs et qui est habillée avec une robe blanche. Ma mère touche le corps et puis elle se tourne lentement pour me dire "oui, désolée, tu es morte ma petite." Je m'approche aussi à mon corps. "Oh merde", je pense pendant que je vois pleurer très fort à ma mère, mise à genoux, "je dois prévenir N."

Je sais qu'il est maintenant avec une autre fille, une fille grosse et blonde, du nord, qui parle encore plus fort que moi et qui a toujours faim du sexe. On m'a dit qu'il ne veut pas être avec elle. Peu importe maintenant. Mais je dois lui trouver, j'ai besoin de lui voir et lui annoncer que mon corps est inerte par terre. Alors, je lui recherche. Saria vient avec moi parce qu'elle est aussi morte (peut-être grâce à une autre pierre, moi je ne sais pas), et on passe à travers des murs comme s'ils étaient faits de l'eau. Je marche, je crie son nom avec les mains à côté de la bouche, je demande à les gens qui, d'une façon surprenante, peuvent me voir.

Il est dans sa chambre, endormi. On y va. Dès qu'on est arrivées, M. sors. C'est notre ami, pas sa neuve petite amie. Je suspire. Il me dit "au revoir" avec une sourire et il quitte. N. est dans son lit, en train de me regarder fixement. Je veux lui dire beaucoup de choses."Je suis morte" et "je n'aime pas ta petite amie" sont les principaux, mais je ne peux pas parler dans ce moment et je reste, nulle, en lui regardant aussi.

Saria va lui saluer, contente, et il la prend dans ces bras encore. D'un coup j'ai envie de pleurer. Peut-être qu'il peut me toucher après tout. Si c'est comme ça je veux qu'il me touche: une main, le cou, le visage, les cheveux, peu importe, maintenant je me rends compte de que vraiment je suis morte et de que c'est pas amusant.

Avec un espoir qui me fait pleurer comme feu dans ma gorge, je dis: "bonjour." Je veux dire trop de choses. Oublie ton imbécile petite amie. Fais-moi réelle encore. Mais il me regarde, il me regarde seulement, avec une expression qui montre comme il me déteste, et dit: "Qui es-tu?"






(Pardon pour les erreurs.)

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